Depuis un certain moment, les énergies renouvelables sont vues comme étant les meilleures alternatives pour remédier à la dégradation de l’environnement, sévissant peu à peu sur la planète et dont les conséquences se perçoivent quotidiennement.
En effet, en ayant recours aux énergies renouvelables, nous luttons primordialement contre les effets de serres. Suite à cela et prenant conscience de l’enjeu, il va de soi que chaque pays de la planète se doit d’être conscientiser et ait recours aux énergies renouvelables. Parmi ces pays, la Chine, possédant la plus grande réserve en matière de charbon et reste la plus grande productrice d’acier. Suite au le retrait des Etats Unis de l’Accord de Paris, il semble pourtant que la Chine demeure passive par rapport à sa position sur l’utilisation des énergies renouvelables.
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Qu’est ce que l’ENR ou les Energies Nouvelles Réparties ?
Les énergies renouvelables se présentent comme étant des énergies qui ne peuvent s’épuiser dans le temps. Elles trouvent le plus souvent leurs origines à travers les différents éléments naturels comme la chaleur de la terre, le vent, l’eau, le soleil, les chutes d’eau, les marées, … Elles sont catégorisées à l’opposé des énergies qui sont majoritairement composées de combustibles fossiles comme l’uranium, le pétrole, le gaz ou encore le charbon qui sont généralement très polluants et produisent par la suite divers déchets.
Malgré le fait que les énergies renouvelables représentent de bonnes alternatives en terme énergétique, elles demeurent malheureusement peu exploitées et ne couvrent jusqu’à présent que près de 20% de la consommation dite « mondiale ».
On distingue généralement 5 grandes familles liées aux énergies renouvelables, à savoir : les énergies éoliennes, les énergies solaires photovoltaïques, les énergies solaires thermiques, la biomasse et la géothermie.
La production d’acier en Chine : une fausse promesse ?
Cela fait un moment que les plus grands producteurs d’aciers du monde, à savoir les Etats Unis, la Russie, la Chine, l’Inde, la Corée du Sud, l’Allemagne, la Belgique, la Turquie, l’Ukraine, la Belgique,… se sont mis d’accord sur la réduction de la production de ce dernier en vue de préserver la terre. Cependant, il semble que la Chine, se présentant comme la première productrice d’acier depuis cela un bon moment, ne peut s’abstenir d’accroître sa production en termes d’acier.
En effet, à elle seule, elle assure près de la moitié des productions et vend même ses produits à pertes. Suite à cela, la Chine évoque une promesse qui est principalement basée sur la réduction de sa production d’acier et de limiter ainsi sa production de 100 à 150 millions de tonnes par an.
Il s’agira, entre autres, de supprimer par la suite près d’1,8 million de postes liés à la sidérurgie. Il va sans dire que diverses infrastructures œuvrant dans le domaine ont ainsi été fermées.
Cependant, malgré cette promesse et d’après le rapport effectué par un cabinet chinois Custeel et la Greenpeace, il semble que la Chine, au lieu de réduire sa production, a accru cette dernière.
En effet, durant le courant de l’année 2016, il semble que la Chine a haussé sa production avec 36,5 millions de tonnes produites, un chiffre qui représente le double de la production au Royaume-Uni. Il s’agit ainsi d’une politique contradictoire de Pékin que Custeel et Greenpeace proclament haut et fort. En effet, plusieurs usines fermées ont pu ré-ouvrir en 2016, d’autres usines ont même vu le jour.
Pour remédier à cela, la commission européenne a dû prendre quelques mesures contre certains aciers chinois moyennant des taxes qui sont comprises entre 30% à 65%. La question se pose : cette mesure pourrait-elle réellement influer sur la politique de la Chine ?